Découvertes parisiennes
Le blog collectif et collaboratif de LF343: La France à Paris avec Boston University Study Abroad à Paris, Été 2016
12 juillet, 2016
11 juillet, 2016
05 juillet, 2016
Modèle: Allez les bleus
Je vous encourage de participer à l'ambiance du match jeudi soir. C'est vraiment un moment exceptionnel de soutenir les Bleus en demi-finale contre l'Allemagne pendant cet Euro 2016 en France! Voici un modèle de dimanche soir:
Il vous faut d'abord:
De la peinture au moins... |
Pour arriver à quelque chose comme ça:
SOYONS FESTIFS - Postez vos photos sur le blog!
Réaction à "La cantatrice chauve"
Mes réactions
initiales de « La cantatrice chauve » étaient que la pièce était plus
dynamique et captivant que j’ai anticipé. J’ai attendu que la pièce serait
vague (comme mes pensées pendant que je l’ai lu), mais elle l’a dépassé les
attentes que j’avais. Je l’ai trouvé plus dynamique et active que les images
dans ma tête, un changement que je n’ai jamais pensé passer.
En total, tous
les acteurs étaient géniaux. Je pense que l’actrice que a jouée le rôle de Mme
Martin était ma favorite à cause de ses manies et ses habitudes. L’audience pouvait
voir comment elle était anxieuse et nerveuse avec ses mains et ses expressions sur
sa figure. Ses réponses dans ses actions a dit plus que les mots, une autre
niveau de la pièce que je n’ai pas trouvé quand je l’ai lu. Tous les acteurs
avaient cette capacité à changer le ton du dialogue avec leurs expressions ou
leurs habitudes, pas juste Mme Martin.
L’homme qui a joué
le rôle de M Smith, il me souvient de mon grand-père avec la façon qu’il a parlé.
Le ton dans sa voix et le style avec lequel dit quelques mots vraiment m’impressionne.
C’était comme il était sur la scène sur trois ou quatre instances, mais pas
plus.
En total, je
crois que « La cantatrice chauve » était magnifique et je voudrais
le revoir dans le futur.
Penelope - Blog 6
Réaction à la
pièce La cantatrice chauve et Un fil à la patte
J’ai trouvé que les théâtres sont partis
importants pour l’expérience de regarder une pièce. Les deux La cantatrice chauve et Un fil à la patte n’seront pas les mêmes
sans Le Théâtre de la Huchette et La Comédie-Française. Les histoires longues
et l’architecture complètent les pièces de théâtre – c’est incroyable que La
cantatrice chauve joue dans petit et intimiste Le Théâtre de la Huchette sans interruption
depuis 1957 ! La Comédie-Française a une histoire légendaire aussi, et j’ai
apprécié découvre le bâtiment (qui m’a rappelé de Wiener Staatsoper avec la grande
scène élaborée) pendant l’entracte.
La performance de La cantatrice chauve était un petit peu diffèrent
que j’avais imaginé dans ma tête en le lisant – il était moins bizarre, et la
fin était meilleure en public (les acteurs et actrices ont fait la conversation
de seulement bruit plus intéressant). Les interactions entre les couples étaient
aussi fascinant avec la petite scène sans beaucoup d’espace. Après avoir lu l’introduction
de L’homme révolté de Camus avec un
petit peu histoire d’absurdité, cette pièce de théâtre de l’absurde m’a donné
beaucoup pour réfléchir.
04 juillet, 2016
Penelope - Blog 5
Commentaire Littéraire
« Le Cygne » dans « Fleurs du mal » par Charles
Baudelaire
Perdu
Les changements de temps
et distance peuvent causer les sentiments de déplacement, solitude, et
nostalgie. Charles Baudelaire, un poète romantique français, explore le
sentiment d’avoir mal au pays dans son poème « Le Cygne ».
Publié dans le recueil de poèmes « Les Fleurs du mal » en 1857
pendant une ère des énormes changements physiquement (grâce à Haussmann) et psychologiquement
pour les parisiennes, ce poème juxtapose les exemples différentes d’exil et dépaysement
pour souligner les défis de s’adapter à une vie et une ville inconnues. Baudelaire
utilise les histoires d’Andromaque, le cygne et la négresse pour exprimer sa lamentation
d’une Paris méconnaissable, sa lutte pour affronter ses souvenirs, et sa peine
d’être perdu. Nous allons commencer avec les changements parisiens ;
ensuit, nous allons poursuivre avec les souvenirs de la vie disparue ; et, enfin
nous allons considérer dépaysement et les recherches pour trouver la direction
encore.
Pour le poète, les immenses
changements de Paris sont centraux dans son sens de dépaysement. Son envie pour
« le vieux Paris » est accentuée par les répétitions directs de « la
forme d’une ville / Change plus vite, hélas ! que le cœur d’un mortel »
et « Paris change ! ». Les détails de la nouvelle et la vieille
ville, et les contrastes entre « camp de baraques … tas de chapiteaux
ébauché … le bric-à-brac … une ménagerie » et « palais neufs,
échafaudages, blocs » sont la manifestation de la passage d’un mode de vie
chérie.
Sans le soutien d’habitue,
le locuteur peut seulement tenir fermement ses souvenirs. Les références
grecques et à la négresse sont utilisés pour décrire la « mélancolie /[qui]
N’a bougé » et les « chers souvenirs… plus lourds que des rocs ».
La mort du mari d’Andromaque est comparable à la mort de le vieux Paris pour l’auteur
– les deux Andromaque et le poète ont du mal à continuer. La négresse, d’un
autre côté est exil par distance au lieux d’événement bouleversant. Cependant
ses cherches « Les cocotiers absents de la superbe Afrique / Derrière
la muraille immense du brouillard » ressemblent aux efforts désespérés mais futiles
du locateur. Tout le monde est séparé de la vie, qui n’existe plus, de ses
souvenirs.
En fin, la peine d’être
perdu est incarnée par le cygne. Les détails de ses expériences avec caractéristiques
d’oxymoron, tel que « pieds palmé frottant le pavé sec », « ruisseau
sans eau » et « Baignait … dans la poudre », augmentent l’intensité
du dépaysement ressenti par le poète. Pour l’artiste, le « beau lac natal »
est la vielle Paris, et le cygne est un miroir pour lui-même.
En examinant les
détails de changements parisiens, analyser les références, et déchiffrer les
analogies, nous pouvons comprendre les sentiments compliqués d’exil et perte
communiqué par le poète. Après tout, avec tous les variations de changes et le
dépaysement conséquent, qui ne continuer pas dans la vie sans nostalgie des
souvenirs doux-amers ?
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