Commentaire Littéraire
« Le Cygne » dans « Fleurs du mal » par Charles
Baudelaire
Perdu
Les changements de temps
et distance peuvent causer les sentiments de déplacement, solitude, et
nostalgie. Charles Baudelaire, un poète romantique français, explore le
sentiment d’avoir mal au pays dans son poème « Le Cygne ».
Publié dans le recueil de poèmes « Les Fleurs du mal » en 1857
pendant une ère des énormes changements physiquement (grâce à Haussmann) et psychologiquement
pour les parisiennes, ce poème juxtapose les exemples différentes d’exil et dépaysement
pour souligner les défis de s’adapter à une vie et une ville inconnues. Baudelaire
utilise les histoires d’Andromaque, le cygne et la négresse pour exprimer sa lamentation
d’une Paris méconnaissable, sa lutte pour affronter ses souvenirs, et sa peine
d’être perdu. Nous allons commencer avec les changements parisiens ;
ensuit, nous allons poursuivre avec les souvenirs de la vie disparue ; et, enfin
nous allons considérer dépaysement et les recherches pour trouver la direction
encore.
Pour le poète, les immenses
changements de Paris sont centraux dans son sens de dépaysement. Son envie pour
« le vieux Paris » est accentuée par les répétitions directs de « la
forme d’une ville / Change plus vite, hélas ! que le cœur d’un mortel »
et « Paris change ! ». Les détails de la nouvelle et la vieille
ville, et les contrastes entre « camp de baraques … tas de chapiteaux
ébauché … le bric-à-brac … une ménagerie » et « palais neufs,
échafaudages, blocs » sont la manifestation de la passage d’un mode de vie
chérie.
Sans le soutien d’habitue,
le locuteur peut seulement tenir fermement ses souvenirs. Les références
grecques et à la négresse sont utilisés pour décrire la « mélancolie /[qui]
N’a bougé » et les « chers souvenirs… plus lourds que des rocs ».
La mort du mari d’Andromaque est comparable à la mort de le vieux Paris pour l’auteur
– les deux Andromaque et le poète ont du mal à continuer. La négresse, d’un
autre côté est exil par distance au lieux d’événement bouleversant. Cependant
ses cherches « Les cocotiers absents de la superbe Afrique / Derrière
la muraille immense du brouillard » ressemblent aux efforts désespérés mais futiles
du locateur. Tout le monde est séparé de la vie, qui n’existe plus, de ses
souvenirs.
En fin, la peine d’être
perdu est incarnée par le cygne. Les détails de ses expériences avec caractéristiques
d’oxymoron, tel que « pieds palmé frottant le pavé sec », « ruisseau
sans eau » et « Baignait … dans la poudre », augmentent l’intensité
du dépaysement ressenti par le poète. Pour l’artiste, le « beau lac natal »
est la vielle Paris, et le cygne est un miroir pour lui-même.
En examinant les
détails de changements parisiens, analyser les références, et déchiffrer les
analogies, nous pouvons comprendre les sentiments compliqués d’exil et perte
communiqué par le poète. Après tout, avec tous les variations de changes et le
dépaysement conséquent, qui ne continuer pas dans la vie sans nostalgie des
souvenirs doux-amers ?
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