04 juillet, 2016

Penelope - Blog 5

Commentaire Littéraire
« Le Cygne » dans « Fleurs du mal » par Charles Baudelaire

Perdu
            Les changements de temps et distance peuvent causer les sentiments de déplacement, solitude, et nostalgie. Charles Baudelaire, un poète romantique français, explore le sentiment d’avoir mal au pays dans son poème « Le Cygne ». Publié dans le recueil de poèmes « Les Fleurs du mal » en 1857 pendant une ère des énormes changements physiquement (grâce à Haussmann) et psychologiquement pour les parisiennes, ce poème juxtapose les exemples différentes d’exil et dépaysement pour souligner les défis de s’adapter à une vie et une ville inconnues. Baudelaire utilise les histoires d’Andromaque, le cygne et la négresse pour exprimer sa lamentation d’une Paris méconnaissable, sa lutte pour affronter ses souvenirs, et sa peine d’être perdu. Nous allons commencer avec les changements parisiens ; ensuit, nous allons poursuivre avec les souvenirs de la vie disparue ; et, enfin nous allons considérer dépaysement et les recherches pour trouver la direction encore.
            Pour le poète, les immenses changements de Paris sont centraux dans son sens de dépaysement. Son envie pour « le vieux Paris » est accentuée par les répétitions directs de « la forme d’une ville / Change plus vite, hélas ! que le cœur d’un mortel » et « Paris change ! ». Les détails de la nouvelle et la vieille ville, et les contrastes entre « camp de baraques … tas de chapiteaux ébauché … le bric-à-brac … une ménagerie » et « palais neufs, échafaudages, blocs » sont la manifestation de la passage d’un mode de vie chérie.
            Sans le soutien d’habitue, le locuteur peut seulement tenir fermement ses souvenirs. Les références grecques et à la négresse sont utilisés pour décrire la « mélancolie /[qui] N’a bougé » et les « chers souvenirs… plus lourds que des rocs ». La mort du mari d’Andromaque est comparable à la mort de le vieux Paris pour l’auteur – les deux Andromaque et le poète ont du mal à continuer. La négresse, d’un autre côté est exil par distance au lieux d’événement bouleversant. Cependant ses cherches « Les cocotiers absents de la superbe Afrique / Derrière la muraille immense du brouillard » ressemblent aux efforts désespérés mais futiles du locateur. Tout le monde est séparé de la vie, qui n’existe plus, de ses souvenirs.
            En fin, la peine d’être perdu est incarnée par le cygne. Les détails de ses expériences avec caractéristiques d’oxymoron, tel que « pieds palmé frottant le pavé sec », « ruisseau sans eau » et « Baignait … dans la poudre », augmentent l’intensité du dépaysement ressenti par le poète. Pour l’artiste, le « beau lac natal » est la vielle Paris, et le cygne est un miroir pour lui-même.

            En examinant les détails de changements parisiens, analyser les références, et déchiffrer les analogies, nous pouvons comprendre les sentiments compliqués d’exil et perte communiqué par le poète. Après tout, avec tous les variations de changes et le dépaysement conséquent, qui ne continuer pas dans la vie sans nostalgie des souvenirs doux-amers ?

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