16 juin, 2016

BLOG 4: Portrait d'un lieu parisien VIDEO


Cette semaine votre devoir est de trouver un endroit qui vous a particulièrement marqué pendant votre séjour et de faire un portrait vidéo (3-5 minutes). Expliquez où vous-êtes, ce que c’est, le contexte historique, quartier, ambiance, etc. et ensuite expliquez pourquoi cet endroit est important pour vous. Parlez spontanément (pas de notes) et même pensez à interviewer des Parisiens si possible pour voir leurs impression du lieu et comparez-les aux leurs. Postez la vidéo sur YouTube (privacy settings: public or unlisted) et téléchargez-la (icône video - "From YouTube") sur notre blog. 

14 juin, 2016

Blog 3 -- Poème dans le métro


"N’est-ce pas ?"


La plus grande publicité des chausseurs
c’est le métro—personne regard qu’autour
le sol. Les yeux parterre comme des fournis
qui courir, baskets à talons. Personne ne souris.

On paraît que les pieds sont les choses
les plus belles du monde, on suppose
qu'on cherche les miettes avec soucis
comme on n’a jamais mangé dans la vie.

Personne reconnaître l’humanité
des gens attaché des pieds—
c’est vraiment trop de pensé
que tout le monde est tombé
dans cet car
par hasard
tous ensemble
un grand mélange.

C’est où la fraternité quand tout le monde a peur
des pupilles des gens ? Chacun à un cœur.

Mais dans le métro les cœurs s’envolent
parce que tous les autres, les étrangers, sont folle.
N'est-ce pas?

13 juin, 2016

Teagan, BLOG 3

Je ne sais pas pourquoi, mais j'aime bien écrire sur le temps. Donc, voilà :

"Le parapluie"

Le texte:


Tu me fais fatiguer et paresseuse.
Je ne peux pas t’échapper. Chaque semaine
tu tombes, constamment et implacable.
Je me sens lourd et mélancolique.

Je ne peux pas contrôler mes émotions
 à cause de toi. Je suis faible et
impressionnable grâce à toi,
Tu es une chose sans tête, sans corps.

Mais, tu as un cœur ;
Tu, la pluie, adores Paris. 

Andrew Blog 3


Kurt Grunder: BLOG 3

LIGNE 14 - OLYMPIADES À BERCY

Je ne comprends pas le monde qu'on en habite.
Je questionne tout aujourd'hui dans ma vie.
Est-ce que on est sûr, vraiment?
Est-ce que je réside dans un monde qui ne fait pas attention?

LIGNE 6 - BERCY À PASSY

Le racisme, l'homophobie, la détestation n'existent pas dans ma tête.
Mais, ils existent dans notre monde, dans nos systèmes, dans nos idéologies.
L'arc-en-ciel, qui représente ma vie, avait changé pour blanc, noir et rouge partout.
Les couleurs d'un célébration sont mélangés avec les couleurs de la mort.
Ma cœur reste troublante, ma tête reste confuse, et mes larmes continue.
Je ne comprends pas, je ne comprends rien, et ça c'est mon dilemme.
Le métro bouge et continue, s'arrête de temps en temps.
Comme nos vies bouge, continue, et éventuellement, elles s'arrêtent.
Mais tout le monde anticipe cet arrêt, la fin de la vie qu'on peut voir.
Ce gens n'anticipe jamais son arrêt; un arrêt sans acceptation.
Comme le métro s'arrête entre deux stations, un arrêt sans anticipation, sans raison. La fin de la vie pour ce gens fait comme ça, un arrêt qui n'est jamais accepté. La mortalité est notre malédiction.
Je suis perdu par un acte de la vengeance sur ma communauté.
Une groupe qui partage l'amour, le bonheur, et l'acceptation, pas quoi elle a reçu samedi soir.
Ma famille me manque, mon chien me manque, je me manque aussi. Mais je peut les retourner.
Ils ne peuvent pas le faire. Ça me fait malheureusement triste, déplorable.
Le ciel à Paris restent gris comme toujours, le même dans ma tête.
Mais le soleil retournera avec un arc-en-ciel, et l'amour conquerra tout.

Taylor Dean Blog 3

Calligramme - La Bastille

Un jour, j'ai vu les mots "vivre libre ou mourir" sur le mur. C'était l'inspiration for ce poème, "À la Bastille."


Le texte:

À la Bastille, ou nous attendons pour la liberté et pour la justice. Nous allons attaquer et nous allons gagner. Ils ne peuvent pas nous détruire. Nous allons combattre aujourd'hui pour la justice et la liberté demain pour nos enfants. Nous croyons que la France va être un pays grand et tout libre. L'avenir est dans nos mains au moment. Nous gagnons, alors, nous disons - vivre libre ou mourir.





08 juin, 2016

Classe / Apéro - Champs de Mars

Quel beau groupe (avec un oeil du professeur)! 

Un cadre bien sympa pour une petite discussion littéraire. 

06 juin, 2016

Andrew Blog 2

Photo de Domi Vesco,  https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/736x/bf/85/7a/bf857a995cdc46e66f228bda6c8b9d2b.jpg

Rue de Thorigny

      La rue est exiguë, cachée dans le Marais avec des mussés et galeries d’art modernes et des nouveaux magasins haut de gamme à côte des anciens ateliers de peinture. Les murs sont beiges et bruns avec des taches et la rue est pavée. Toutes les façades sont sourdes sauf un atelier avec une façade bleue et des œuvres colorées dans sa vitrine et le seul drapeau français est accroché dans la fenêtre d’une femme coréenne pour repousser des bredouillements racistes, bien qu’il soit inefficace.  La rue de Thorigny sait qu’elle peut durer plus longtemps que les habitants actuels. 
      Il y a les gens qui travaillent ici et puis les gens qui passent. Pour les premiers,  soit ils sont obsédés par gagner l’argent soit ils sont nostalgiques pour le temps avant l’embourgeoisement de cette rue. Les derniers sont des touristes qui photographient les vitrines. Ils portent des vêtements à la mode et des chausseurs propres et chers et ils défilent ses sacs des boutiques en route pour leurs repas prochains.  Les touristes font des commentaires sur la vitrine colorée avec des voix américaines et de temps en temps une personne demande l’artiste dans l’atelier si l’œuvre est à vendre, mais l’artiste se moque de la question est puis la personne quitte la rue.

Penelope Blog 2 - Des enfants de Paris


Le parc est une oasis verte dans la ville grise. Il est plein des rires et de l’énergie des enfants quand le reste de Paris semble d’être au bord des larmes. Entouré des grands et vieux arbres, les enfants jouent pendant la récréation midi, et les adultes les regardent en reposant et mangeant ses déjeuners. Ils courent, ils rient, ils tombent, ils hurlent, ils pleurent, ils se lèvent, et tout commence encore. Tous les garçons et filles jouent ensemble en la cour de récréation, et se chassent l’un l’autre autour du belvédère.  Après, en portant les vestes jaune vif et réfléchissant, ils suivent ses instituteur et institutrice pour revenir l’école comme des poussins qui font la queue derrière la poule.
***

            Les portes ouvertes, et les enfants sortent précipitamment avec des petits sacs à dos. Les mères, les pères, et les baby-sitters qui s’ont rassemblé en attendant devant l’école cherchent la foule avec les yeux inquiets. Peu à peu, tout le monde se disperse, les adultes et ses enfants se tiennent la main. Certaines personnes marchent lentement, en attendant pour des enfants qui ne veulent pas quitter leurs amis; d’autres marchent rapidement pour aller aussi vite que des enfants qui courent devant. Il y a même des gens montent des scooters comme ses enfants.

05 juin, 2016

Audrey Darnis Blog 2

La Seine
Un des endroits où se trouvent des gens en marchant, en faisant la bicyclette, en courant, en buvant, en fumant, c’est à coté de la Seine, à Paris. Mais, aujourd’hui, l’esprit de la seine est perdu dessus une inondation de l’eau obscure : un mélange harmonieux des couleurs douleurs—tout gris, tout vert, tout brune. L’eau cache les escaliers tachés par des cigarettes et de poussière, les rues de piétons, le fond des poubelles grises en métal et le fond des réverbères du bleu blême.
L’escalier qui, à une autrefois, a descendu jusqu'à une passerelle, descend dans la rivière comme l’entrée d’une grande piscine qui depuis longtemps était laissé à l’abandon. Jusqu'au fond des escaliers se trouve la poubelle grise qui semble de flotter, des boites rouges et vertes restent dans leur grande sac plastique—elles partagent le sac avec l’eau.
Même si l’esprit de la rue est perdu, parce que la rue est perdue, les esprits des gens ne s’enfuient pas. Les gens assissent, toutes dans les vêtements noirs, sauf une petite fille s’habiller en manteau rose, et un petit garçon dans un imperméable jaune. Quelques gens prennent des photos avec leurs iPhones, les autres parlent, les autres fument ; la petite fille en rose s’assoie toute seule, en regardant l’eau. Que pense-elle ?

Taylor Dean Blog 2




En partant le métro tard dans l'après-midi, on traverse sur l'Avenue René Coty pour marcher au sud. La foule pressée, s'habillait dans noir et gris, diminue quand on marche loin du métro. Un trottoir vert divise la rue, et on continue à marcher sur ce trottoir. Les arbres le couvrent comme un plafond de vert tendre. On marche, portant une mallette plein des documents du travail, devant les enfants qui rient jouant dans les flaques, devant les chiens reniflant les arbustes, devant les boulangeries et les pâtisseries vides. La terre, mouillée et inondée par la pluie incessante, glisse dans la lumière douce. Peut-être la pluie va arrêter demain, on ne peut pas espérer. Le temps cette semaine ne se semble pas très bon. La promenade est un peu longue, mais il vaut la peine. Cette partie du jour est la plus importante pour le banlieusard. Il est le moment quand on a une chance de vraiment voir sa ville et une chance d'être seule de penser et réfléchir sur son jour quand marchant.