26 mai, 2016

Andrew Clark Journal de Bord 2

Man Ray Usine dans une forêt (1929)  
Ce tableau de Man Ray incorpore des éléments qui sont expliqués dans le manifeste du surréaliste, comme l’expression libre, une rapidité avec le dessin et un portait imaginatif d’usine avec un sous-entendu phallique. On peut dessiner l’usine rapidement et il a l’air d’un croquis enfantin. De plus, la nature vague du croquis permet l’image d’apparaître comme une usine ou une église et les deux lignes noires dessus peut-être le vent ou n’importe quoi.  Les zigzags à travers du tableau ajoutent à la nature enfantine qui a décrit par Breton. J’imagine que le processus de Man Ray était comme l’association d’idées des écrivains surréalistes, avec beaucoup de gribouillage.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.